Entre une mainlevée partielle et l’absence d’acceptation d’un sous-traitant, la seconde l’emporte

Axel Glock | | 10 octobre 2016
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La demande d’un sous-traitant tendant à la condamnation du maître d’ouvrage sur le fondement du paiement direct sera rejetée.

En effet, face à une mainlevée partielle de créance, émanant de la banque, pour tenir compte d’une sous-traitance tout aussi partielle du marché, le comptable a choisi à bon droit de continuer de payer la banque, compte tenu de l’absence d’acceptation de ce sous-traitant, par le maître d’ouvrage.

CAA Bordeaux, 9 juin 2016, centre de gestion de la fonction publique territoriale de la Haute-Garonne, Req. n° 15BX01011